Dans le cadre de la résidence d’artistes à l’Onde, six groupes ont travaillé avec la Compagnie des Ouvreurs de Possibles. Ces six groupes ont proposé des performances surprises sur la grande scène du théâtre de l’Onde sous le titre « Dans un souffle ».
Ce que l’on ne peut pas voir…
Laisser la trace de ce que l’on ne peut pas dire et faire apparaître ce que l’on ne peut pas voir… Il y a des choses qui sont difficiles à nommer alors on les dessine, il y a des choses qui sont difficiles à entendre alors on les danse, il y a des choses qui sont difficiles à regarder alors on les ressent… Nous avons mélangé tout cela et avons créé ensemble, surtout ensemble car seul on se sent plus fragile.
(Delphine, Compagnie des Ouvreurs de Possibles in Le Programme de l’Onde)
La danse des hommes
Pour apaiser le Dieu du Vent
Ressemble à la tempête.
AKITO
J’ai aimé la loge et être sur scène car c’était bien.
Je n’ai pas aimé être dans les coulisses car on était pieds nus.
Je n’ai pas aimé avoir le trac.
(texte d’Inès)
Ce que j’ai aimé, c’est quand on était dans les coulisses et aussi quand on est allé sur scène car j’ai guidé tout le monde. On a commencé par le passage de la balle.
J’ai adoré quand Christophe a dit les mots « Stick Slip ».
(texte de Jérémy)
Hier soir je n’avais pas le trac.
Aurélien, quand il était sur scène, il voulait partir car il avait peur de se tromper.
(texte de Mohamed)
C’est la première fois que je montais sur scène. J’étais timide quand je suis entré dans les coulisses.
J’ai aimé quand j’ai dansé devant le public.
(texte de Sébastien)
J’ai bien aimé les haïkus et la danse contemporaine.
J’ai bien aimé dérouler le rouleau et faire les signes avec de l’encre.
(texte d’Aurélien)
On a vu que la directrice de la SEGPA, la Principale et Mme MEUNEUT étaient là.
J’ai eu le trac mais plus une fois que j’étais sur scène. A la fin, on a crié de joie, c’était rigolo.
(texte de Manon)
J’ai bien aimé.
(texte d’Alexia)
Mercredi soir, je me suis dit « ça y est, on va faire le spectacle ».
Quand on s’est rapproché en face du public, j’avais peur, j’étais stressée. Mon cœur battait fort et j’ai cru que j’allais vomir.
(texte de Marie-Aminata)